Je reste un instant ébahie, fixant Aube pour voir si elle disait vrai. Mais quand je vois son sourire, je pousse un grand hennissement et me cabre. Je suis tellement heureuse ! Je reverrai peut être ma mère, ma harde ! Mes amis ! Mais que devrai je faire alors ? Rester avec eux, ou avec Aube ? Bah, je verrai bien... Pour l'instant, je me sens trop joyeuse pour réfléchir à quelque chose de pénible !